
Continuer la lecture de My SoulTravaille comme si tu n’avais pas besoin d’argent. Aime comme si tu n’avais jamais souffert. Danse comme si personne ne te regardait.
New York Post, 4 Octobre 1959 – Satchel Paige
Continuer la lecture de My SoulTravaille comme si tu n’avais pas besoin d’argent. Aime comme si tu n’avais jamais souffert. Danse comme si personne ne te regardait.
New York Post, 4 Octobre 1959 – Satchel Paige
Continuer la lecture de ZenC’est un voyage. Au début de ce voyage, dit un poème zen, la montagne au loin a l’air d’une montagne. Au fil du voyage, la montagne ne cesse de changer d’aspect. On ne la reconnaît plus, c’est toute une fantasmagorie qui remplace la montagne, on ne sait plus du tout vers quoi on s’achemine. À la fin du voyage, c’est de nouveau la montagne, mais ça n’a rien à voir avec ce qu’on apercevait de loin il y a longtemps, quand on s’est mis en route. C’est vraiment la montagne. On la voit enfin. On est arrivé. On y est.
Yoga (2020) de Emmanuel Carrère
Continuer la lecture de Persan
La femme sage est celle qui a beaucoup à dire mais qui garde le silenceProverbe Persan
Continuer la lecture de Reconfort
La souffrance est pour un jour, mais le réconfort est pour toujours.
Continuer la lecture de LatexLe cuir des meilleurs boucliers n’arrête pas les griffes du lion.
Le Lion (1958) de Joseph Kessel
Continuer la lecture de Mon HiverOh ! combien je faisais attention jadis à toutes les époques de l’année ! Je saluais l’arrivée du printemps : j’aspirais après l’automne. Mais il n’y a plus maintenant ni été, ni hiver, depuis que, comblé de bonheur, l’aile de l’Amour m’abrite et qu’un éternel printemps plane autour de moi.
Épigrammes – Johann Wolfgang Von Goethe
Continuer la lecture de AbsintheZadig éprouva que le premier mois du mariage, comme il est écrit dans le livre du Zend, est la lune du miel, et que le second est la lune de l’absinthe.
Zadig ou la Destinée (1748), III. Le chien et le cheval de Voltaire
Continuer la lecture de VengeanceDans la vengeance comme dans l’amour, la femme est plus barbare que l’homme.
Citation de Friedrich Nietzsche ; Par-delà le bien et le mal (1886)
Continuer la lecture de Douceur de L’AubeLa grand-mère lui avait toujours dit que le bonheur était comme la promesse de l’aube, si l’on s’en tient à la promesse sans s’obstiner à vouloir deviner ce qu’on aurait envie qu’elle révèle à l’avance.
Grossir le Ciel (2014) de Franck Bouysse